J'ai ôté ma couette...
Le froid ne mit pas longtemps à se faire sentir.
Désirant embrasser les formes de mon corps alangui,
Que les draps épousaient jalousement comme un amant.
Entortiller de douceur,
La fermeté de mon corps soumis à la fraîcheur
Et les frissons qui le parcouraient,
Ne laissait présager qu'un mauvais moment à passer,
Durant lequel, je ne trouverais pas le sommeil.
J'ai remis ma couette !
Il manque une photo... aux mots déjà imagés ;-)
RépondreSupprimerCoquin !
RépondreSupprimerpssss !
RépondreSupprimerje croyais que c'était une mauvaise habitude d'illustrer les mots par une photo
;-)
et puis j'ai du mal avec les autoportraits... seul, on ne trouve jamais le bon angle, encore moins la bonne lumière et là, la lumière avait toute son importance !
Je ne parlai que d'une photo de couette comme le cliché de ton lit vide d'il y a quelques jours... que vas-tu imaginer ;-)
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