La fragilité d'un instant,
Une vie qui bascule dans la peine.
La présence d'une épaule,
Le réconfort pour cette âme meurtrie.
Comme cette fleur de Bougainvilliers,
Accueillie dans sa chute par cette large feuille.
Ne restera que la douceur...
à Sébastien
J'ai eu de la peine aussi en découvrant son dernier post. Mais il a le phénix en lui, je suis sûre qu'il renaîtra encore une fois de ses cendres...
RépondreSupprimerJe reste prête à lui prêter mes ailes pour adoucir sa chute, comme toi les tiennes. Si bien entouré, même en tombant, il aura moins mal. La compassion n'est-elle pas le plus doux des parachutes ? :)
ps : ta fleur, elle m'évoque la forme d'un petit papillon diaphane... tu vois, elle a des ailes et elle ne le sait pas encore. ;)
RépondreSupprimerUn grand merci à toi l'ange de la blogosphère ainsi qu'au colibri de paradis... aucune chute ne serait-être fatale avec tant d'ailes sur mon sillage et le phénix qui m'habite ne cesse de s'enflammer et me permet d'avancer et de renaître sans cesse plus fort de mes cendres.
RépondreSupprimerUne mauvaise à touché ma famille, je n'étais pas à l'épicentre et je suis loin d'être celui ayant subi le plus de dommage mais ma présence et mon énergie devait servir à ceux qui en avaient besoin alors l'esprit ailleurs il me fallait quelques jours pour refaire un peu surface... me voici de retour, d'ailleurs le post de demain sera ma chute avant la suite tout aussi inattendue ;-)
Merci encore doux ange et merci à l'ainée colibri aussi ;-)