jeudi 30 juillet 2009

Un regard à travers la fenêtre...

Un jeune couple venait de s'installer dans un nouveau quartier. Le lendemain matin, au moment où le couple prenait le petit-déjeuner, la femme aperçut leur voisine qui étendait du linge sur un séchoir.

"Quel linge sale ! Elle ne sait pas laver. Peut-être a-t-elle besoin d’un nouveau savon pour mieux faire sa lessive !" dit elle.

Son mari regarda la scène mais garda le silence. C’était le même commentaire chaque fois que la voisine séchait son linge.

Après un mois, la femme fut surprise de voir un matin que le linge de sa voisine était bien propre et elle dit à son mari :
"Regarde ! Elle a appris à laver son linge maintenant. Qui le lui a enseigné ?"

Le mari répondit : Non, je me suis levé tôt ce matin et j’ai lavé les vitres de notre fenêtre !

Ainsi va la vie !
Tout dépend de la propreté de la fenêtre à travers laquelle nous observons les faits.

Avant de critiquer, il faudrait peut-être vérifier d’abord la qualité de notre regard.
Alors, nous pouvons voir avec clarté la limpidité du cœur des autres.

Ah ! J’allais oublier. Aujourd’hui, je te vois mieux qu’hier.
Et toi ?

merci à mes amies du Québec pour cette histoire

La couleur de l'amour...

mercredi 29 juillet 2009

Un monde en marche...

vendredi 24 juillet 2009


Être avec toi...
Être avec moi...

Être avec toi...
Être une douceur éphémère...

Être avec toi...
Être ici et ailleurs....

Être avec toi...
Être loin de moi...

Être avec toi...
Et s'émouvoir...

Être sans toi...
Et souffrir.

lundi 20 juillet 2009

La nature a dit...


Je t'aime...


vendredi 17 juillet 2009

Ma douceur... mon coin de paradis


Dans un petit coin de mon cœur, je te pleurs.
Dans un petit coin de mon esprit, tu me souris.
Dans un petit coin de mon âme, je te rêve...

mardi 14 juillet 2009

Pic-nic chic

vendredi 10 juillet 2009

jeudi 9 juillet 2009

Séparation

J'ai fait : "Mumm"
Et me suis passée le Cordon Rouge autour du cou...


A présent, la maison est vide, silencieuse.
Seul le bruit de mes doigts effleurant le clavier est perceptible...

Ta douce présence flotte encore, tel un esprit vaporeux qui ne voudrait pas quitter des lieux enchantés.
Mais pour combien de temps encore ?!

Tes affaires ne trainent plus dans la salle de bain, plus ta chemise jetée sur le fauteuil...
Seul ton souvenir caresse mon enveloppe.
Ton être court encore sur ma peau, dans mon corps, dans mon cœur.
Le spectre de tes caresses s'attardent encore sur mon visage, tes lèvres sur mes lèvres.

Je m'enivre pour apaiser la douleur...
La douleur de ton départ, la douleur de ton absence.
Je m'enivre pour oublier ces instants magiques,
Nos instants magiques que j'aurais aimé prolonger...

Tes paroles, le souvenir de ta douceur, ton ange, m'accompagneront à travers cette nuit de solitude.
Demain, j'entendrais ta voix et je partirais à mon tour pour un ailleurs.
Chacun son tour...


dimanche 5 juillet 2009

Gourmandise...

Si tu étais une recette,
Je te cuisinerais tous les jours,
Juste pour le plaisir de te savourer !

moi-même

un jour sans fin...

Les heures blessent,
Il n'est que 17:00...
Et j'ai vu toutes les heures de cette maudite journée passer avec une cynique lenteur
J'aimerais qu'il soit 22:00...
Me coucher et fermer les yeux sur cette vie,
Reposer en paix, quelques heures avant le nouveau combat.
Demain 4:00 !

Je hais les dimanches
Je t'aime toi...

jeudi 2 juillet 2009

Insolite...

De nouveau, je repars à l'assaut de la Capitale !

Je suis la marée humaine et automate, déambulant dans les couloirs interminables du métro.
C'est étrange !
On monte, on descend, on tourne à droite, à gauche. On se frôle, on se croise sans se regarder, on se bouscule sans même un "Pardon". Tout le monde semble savoir où il va.
C'est impressionnant, à la limite du fascinant.
Matin et soir, même rengaine, même rituel.

Je me laisse porter par le flot humain, mon livre à la main...
Mon regard se perd dans le loin.
Des hommes, des femmes, de tous âges, de tous horizons, s'agglutinent, s'entassent, s'amassent, se poussent... Et au milieu de cette agitation de sortie de bureaux, il m'apparaît !
Noble, altier, beau.
Djellaba bleue cobalt, turban blanc maculé, le visage émacié, tanné et flétri.
Un touareg !
Oh !!!! Quelle sublime apparition !

Les gens ont laissé un espace entre eux et lui.
Pourquoi ?
La méfiance ? La peur de l'étranger ? Le respect ? L'admiration ?
Je ne le saurais jamais...
Ce dont je suis certaine, c'est qu'il a enchanté mon retour.

Quand c'est pas un truc, c'est l'autre...

Grâce au docteur Boutonneux, Maurice a recouvré la santé !
Ma confiance en lui revient petit à petit.
Auparavant, elle était fusionnelle et le coma dans lequel il fut plongé durant deux mois, m'avait fait douter de notre complicité !

Aujourd'hui, afin que nous repartions tous deux sur la voie de la communication virtuelle, je décidais de le pourvoir d'une belle parure informatique.
Et là, c'est le drame !
Ça ne fonctionne pas !

Mes nerfs sont soumis à rude épreuve et mon inspiration reste en berne !!!!
Ah tous ces truc que l'on ne maitrise pas !