vendredi 24 décembre 2010


Très chers Instantiens, je vous souhaite

DE TRÈS BELLES et
JOYEUSES FÊTES !


Que l'esprit de Noël vous accompagne...


lundi 6 décembre 2010

Mon Bon Saint-Nicolas !

Saint Nicolas, saint patron et protecteur des petits enfants et de la Lorraine est fêté tous les 6 décembre, surtout dans l'est de la France et dans le nord ainsi que dans de nombreux pays d'Europe.
La légende du Père Noël a été crée à partir du personnage de Saint Nicolas. C'est en quelque sorte l'ancêtre du Père Noël.
L'histoire dit que le personnage de Saint Nicolas est inspiré de Nicolas de Myre appelé également Nicolas de Bari. Il est né à Patara en Asie Mineure entre 250 et 270 après J-C. Il est mort le 6 décembre, en 345 ou en 352 dans la ville portuaire de Myre en Asie Mineure.
C'est l'un des saints les plus populaires en Grêce et dans l'Église Latine.
Il fût Évêque de Myre au 4ème siècle. Sa vie et ses actes sont entourés de légendes.

Après sa mort, Saint Nicolas a alimenté une multitude de légendes qui reflètent sa personnalité généreuse.

Chaque épisode de sa vie a donné lieu à lieu à un patronage ou une confrérie d'un métier ou d'une région.

C'est l'un des saints le plus souvent représenté dans l'iconographie religieuse : sur les vitraux des églises, dans les tableaux, en statue, sur les taques de cheminée, les images d'Epinal, etc... Ses légendes offraient aux imagiers une riche matière.

Saint Nicolas, dans son costume d'évêque fait équipe avec un personnage sinistre, le père Fouettard. Celui-ci, tout vêtu de noir n'a pas le beau rôle puisqu'il est chargé de distribuer les coups de trique aux garnements.

La Saint Nicolas est aussi l'occasion pour les enfants de recevoir des cadeaux trois semaines avant que le Père Noël ne passe dans les cheminées.

La Légende de Saint Nicolas veut que le saint ait ressuscité trois petits enfants qui étaient venus demander l'hospitalité à un boucher. Celui-ci les accueillit et profita de leur sommeil pour les découper en morceaux et les mettre au saloir. Sept ans plus tard, Saint Nicolas passant par là demande au boucher de lui servir ce petit salé vieux de sept ans. Terrorisé le boucher prit la fuite et Saint Nicolas fit revenir les enfants à la vie. Cette légende est à l'origine d'une célèbre chansonnette :

"Ils étaient trois petits enfants
Qui s'en allaient glaner aux champs
Tant sont allés, tant sont venus
Que vers le soir se sont perdus

Ils sont allés chez le boucher
Boucher, voudrais-tu nous loger ?

Ils étaient trois petits enfants
Qui s'en allaient glaner aux champs
Ils n'étaient pas sitôt entrés
Que le boucher les a tués
Les a coupés en p'tits morceaux
Mis au saloir comme pourceaux

Ils étaient trois petits enfants
Qui s'en allaient glaner aux champs
Saint Nicolas au bout d'sept ans
Vint à passer dedans ce champ
Alla frapper chez le boucher
Boucher, voudrais-tu me loger ?

Ils étaient trois petits enfants
Qui s'en allaient glaner aux champs
Entrez, entrez Saint Nicolas
Il y a de la place, il n'en manque pas
Il n'était pas sitôt entré
Qu'il a demandé à souper

Ils étaient trois petits enfants
Qui s'en allaient glaner aux champs
Du p'tit salé, je veux avoir
Qu'il y a sept ans qu'est dans le saloir
Quand le boucher entendit ça
Hors de la porte il s'enfuya

Ils étaient trois petits enfants
Qui s'en allaient glaner aux champs
Boucher, boucher, ne t'enfuis pas
Repens-toi, Dieu te pardonnera
Saint Nicolas alla s'asseoir
Dessus le bord de ce saloir

Ils étaient trois petits enfants
Qui s'en allaient glaner aux champs
Petits enfants qui dormez là
Je suis le grand Saint Nicolas
Et le Saint étendant trois doigts
Les petits se lèvent tous les trois

Ils étaient trois petits enfants
Qui s'en allaient glaner aux champs
Le premier dit "j'ai bien dormi"
Le second dit "Et moi aussi"
Et le troisième répondit "Je me croyais au Paradis"

http://www.fete-enfants.com/saint-nicolas-enfants/saint-nicolas-enfants.html

mercredi 1 décembre 2010

Quand Dame Nature...

...jète sur nous son grand manteau blanc,
mon cœur scintille d'émerveillement.

Voilà ce qu'elle nous offre de magie,
pour le plaisir des grands et des petits

Quand en seul maître, elle se fait respecter,
tout la beauté de ma petite vallée.

mercredi 10 novembre 2010

Après la pluie... le beau temps !

Après l'âme... les corps !


Après la couleur... le noir et blanc !


lundi 1 novembre 2010

Automne, mon bel automne

Que du bonheur



Une déclinaison orangée







Merci Françoise

jeudi 30 septembre 2010

Réflexion nocture

Et si nos cœurs étaient des jardins ouverts...

Le merle, en cantate joyeuse, annoncerait la venue d'un nouveau jour.
Le rossignol magnifique louerait l'avènement d'une douce nuit emplie de songes.
Le phénix offrirait à ses hôtes, le fabuleux spectacle du renouveau, de l'espoir sans fin.
Les plus beaux oiseaux y découvraient le repos, y trouveraient à grignoter des graines d'amour, douces à leurs humeurs ; des graines de partage pour leur bonheur ; des graines de compassion porteuses de paix.

Le mien est ainsi fait et mon ange félin veille sur ce précieux trésor le couvrant de chauds ronronnements chaque soir...



Au petit Colibri qui survole mes Instants,
son jardin est merveille

dimanche 19 septembre 2010

NOTRE belle journée...

Parfois au milieu du chaos, lorsque tout de nous se disloque, s'éparpille, se perd...
Une lueur dans la nuit tel un phare,
Voilà que l'intention d'apporter un peu de répit emplissait de joie tous les cœurs !

Mon petit atelier (sans prétention) et moi ont fait brillé bien des yeux !





Un très grand et émouvant merci, pourquoi un d'ailleurs ?!
D'immenses mercis aux pensionnaires de la maison de retraite "Le Manoir" de Chelles (77) pour leur participation (très active), pour leur chaleur, leur douceur et pour leur rires, leur bonne humeur !
Ça devrait être tous les jours, fête !
Je vais y travailler !!!

Merci à mon ami Jean-Yves
d'être venu m'aider, m'encourager
et pour tous ces beaux souvenirs photographiés.

samedi 18 septembre 2010

25 ans !

Aujourd'hui, ceux sont les 25 ans de France Alzheimer !

L'occasion de pour des milliers de personnes (malades, mais surtout aidants) de partager, de comprendre leur douleur !
C'est avec beaucoup d'honneur, qu'aujourd'hui, mon modeste atelier des sens et moi allons donner un peu de légèreté dans un monde où le gouffre senso-mémoriel se creuse.
C'est avec beaucoup de tendresse, qu'aujourd'hui, je recevrai ces personnes (valides ou non) pour leur apporter un peu de douceur avec mes bonbons mineurs ou arlequin, un peu d'éclat avec toutes mes petites lumières.

Parce que ce mal ne détruit pas que les malades, pensons les uns aux autres !

http://www.25ansdengagement.org/

vendredi 10 septembre 2010

Dessine moi un nuage...

Qui n'a jamais cherché à trouver une forme dans les merveilleux nuages que Dame Nature nous offre ?

Bonjour chers Instantiens
J'espère que votre rentrée s'est bien passée !
Aussi pour vous évader un peu, je vous propose de jouer à un petit jeu auquel j'aime m'adonner pendant mes heures de rêveries... (et Dieu sait qu'elles sont nombreuses...)
Je cultive la joie des petits bonheurs simples.
Pour moi, deviner ce qui se cache dans les nuages est un bonheur simple. Pendant ce fragile petit instant, nous retrouvons notre âme d'enfant, un luxe de nos jours !
Alors sans prétention aucune, à l'occasion, je vous offrirais ce tout petit plaisir.
Êtes-vous prêt à me suivre ?!...



Laissez aller votre imagination...

dimanche 29 août 2010

"Vivre dans la revendication constante de son bonheur revient à être constamment victime de ses attentes. Accueillir toute situation comme occasion de se transformer, c'est grandir véritablement."

[ Yvan Amar]

mercredi 25 août 2010

Dessine moi l'Amour - dernier essai

Chers Instantiens dernière partie du conte (qui en compte trois...)
A lire avant : Dessine-moi l'Amour - premier essai
Puis... : Dessine-moi l'Amour - deuxième essai

... Il regarda la petite fille, tâchant de deviner ce que l'Amour pouvait être pour elle.
Était-ce un immense cœur rouge, une magnifique rose, ou bien encore une étincelante étoile... Il imaginait toutes sortes de choses, mais le regard de la petite fille commença à s'assombrir. On eut dit qu'un orage passait au travers. Les hommes étaient des menteurs, des joueurs sans scrupules, comment pouvait-il prétendre connaître l'Amour ?!
L'aviateur sentit le tourment se lever. Il fit soudain plus froid, le ciel s'obscurcit et au loin, on pouvait déjà entendre les premiers grondements.
C'est alors qu'il eut une idée et dessina une belle bulle de savon, aux couleurs essence, une bulle de savon aux couleurs irisées de l'arc-en-ciel.
Le visage de la petite fille s'illumina d'un large sourire enfantin, ses yeux se plissèrent de joie, le signe de la victoire. Elle se mit à chanter, à danser, à rire aux éclats et le cœur de l'aviateur s'allégea devant tant de joie.

Après cet instant de pur bonheur, la petite fille lui rendit son carnet et dit :
- "Ce vieux carnet de voyage est un trésor d'amour. Pour moi, tu n'as pas hésité à utiliser la dernière page pour dessiner l'Amour. Tu as dessiné une bulle de savon, Ma bulle de savon. Tu as compris que ma bulle était amour, qu'elle était un refuge. Tu m'as montré ce qu'était l'Amour, ce que je ne voyais pas, alors qu'il était là, tout près de moi. Je vais désormais vivre en paix...
Alors sa bulle éclata !
L'aviateur s'affola, mais l'aigle le rassura.
- "Elle errait depuis des années, ne trouvant le repos de son cœur. Elle errait parce qu'elle cherchait l'amour, et personne n'avait su le lui montrer. Tu l'as fait, elle vivra désormais dans l'Amour, elle qui ignorait être dedans !"

A mon cher Pierre, pour sa bienveillance.

lundi 23 août 2010

Dessine moi l'Amour - deuxième essai !

... Chers Instantiens ce texte est le deuxième de trois, alors pour plus de compréhension, merci de lire : Dessine moi l'Amour - premier essai !

L'aviateur fut surpris par la demande de la petite fille de la bulle et fut bien embarrassé de ne savoir dessiner l'Amour. Honteux, il répondit :
- " Je ne sais pas dessiner l'Amour, parce que l'Amour ça ne se dessine pas, ça se vit !"
- "Alors, dit bel aviateur, comme puis-je rencontrer l'Amour si je ne sais à quoi il ressemble ?!"
L'aviateur fut soudain confus. Effectivement comment pouvait-il aider la petite fille guerrière à reconnaître l'Amour, s'il ne savait comment le dessiner !
Elle vit le visage de l'aviateur se fermer devant le souci, alors ses yeux s'emplirent de larmes en forme de bulles de savon, couleur essence.
Soudain, une ombre majestueuse passa dans le ciel azur et un grand aigle vint se poser à ses côtés. Il déploya son aile et vint sécher les larmes de la petite fille. Effrayé, l'aviateur fit un bon en arrière et trébucha.
D'une voix roque, l'aigle lui dit d'un air compatissant :
- "Encore un humain qui ne sait ce qu'est l'Amour, ne t'en fais pas, un jour viendra, tu en croiseras un qui saura.
Vexé, l'aviateur dit :
- "Vous ne m'avez même pas laisser le temps de dessiner l'Amour !"
Les deux le regardèrent surpris par son élan, mais au fond de lui, il restait dubitatif devant son manque d'inspiration. Néanmoins, il sortit un vieux carnet et un vieux stylo de sa poche. Le cuir du petit carnet de voyage était usé jusqu'à la veine, le petit crayon quant à lui n'avait plus de couleur. C'était les derniers objets que lui avaient légué son père en héritage. Il avait disparu dans un accident d'avion.

La petite fille et l'aigle se regardèrent complices, puis examinèrent l'aviateur de plus près. Il semblait soucieux de rendre le sourire à la petite fille de la bulle.
Il tenta de trouver une page blanche pour dessiner l'Amour, il en restait justement une...
../..

Dessine moi l'amour - premier essai !

Les moteurs du "Travel Air 4000" s'étaient coupés sans une explication logique, obligeant l'aviateur à atterrir en urgence.
Il se posa en douceur dans un paysage de plus sinistre. Ici tout était noir, tout était moche, tout était sale. Les "hommes aux semelles de plomb" étaient passés par là sans aucun doute. Les vestiges d'une vie autrefois fastueuse se débattaient avec la vétusté des murs en décrépitude.
L'aviateur en panne de rêve avait échoué dans ce chaos de crasse et de ruines. Il s'interrogeait sur sa situation, lorsqu'il fut surpris par une bulle de savon dont les reflets essence jouaient avec le soleil de cette maudite fin de journée, couleur chagrin.
Il examina cette petite bulle de plus près et vit un petit être en armure, surmonté d'un casque trop lourd pour un si petit corps. Après quelques instants d'hésitation, le petit personnage avança vers lui et ôta son casque. C'est alors qu'il découvrit une jolie petite fille aux yeux d'un vert infini, vert comme un océan après la pluie. Ses cheveux courts noirs rendaient son visage grave et sévère, et une longue mèche de cheveux venait rompre l'uniformité de sa belle chevelure ajoutant un brin de fantaisie. Son sourire enfantin laissait paraître tout l'amour qu'elle avait pour le monde. Elle devait avoir huit, guère plus !
Elle fit un bruit d'enfer en se débattant avec son armure, ne demandant aucune aide pour s'en dépêtrer. Elle avait l'habitude ! L'exercice terminé et elle remit un peu d'ordre dans son costume de princesse et demanda à l'aviateur :
- "Quel est ton nom, homme des airs ?"
Surpris par l'apparition, il finit par répondre : "Je m'appelle Jean et toi ?! et pourquoi as-tu une longue mèche de cheveux "
Elle fit semblant de ne pas entendre la question !

Il la détailla. Son petit corps frêle avait la blancheur du lait, l'ébène de ses cheveux encadrait son visage qui semblait dur mais dont les yeux trahissaient tout son amour.
- "Pourquoi portes-tu une si lourde armure ? " se risqua-t-il a demander.
- "Parce ce que mon pauvre corps ploie sous le poids de la cruauté des Hommes."
La petite fille expliqua alors à l'aviateur que dans sa bulle, il n'y avait qu'amour, compassion, respect et qu'elle s'était ainsi armurée afin d'éviter la haine, la colère et le mépris des Hommes à l'égard de sa différence. Puis soudain, elle s'interrompit et son regard se perdit dans l'azur d'un désert sans fin, comme si un fantôme venait de passer.
Elle le regarda avec toute l'intensité du moment et lui dit :
"Dessine-moi l'Amour"...
../..

jeudi 19 août 2010

Le concours de dessin...

Il était une fois...

Des princesses et des princes...

Et puis des méchants dragons...

N'aies pas peur, je dessinerai un château,
Pour te protéger...

Et nous n'aurons rien à craindre du monde...

mercredi 18 août 2010

La petite voix...

Ne sois pas accablé d'inquiétude pour toi-même, au point de manquer toutes les merveilles de la vie. Vis des beautés et des merveilles de la vie. Promène-toi les yeux grands ouverts et apprécie la beauté autour de toi. Vis un jour à la fois et apprécie-le pleinement. Que chaque instant soit rempli d'amour et de gratitude.
Lorsqu'un événement inharmonieux se produit, sans attendre, regarde autour et vois comment cela pourrait être transformé. Fais-le vite parce que les pensées négatives et nuisibles peuvent pousser aussi vite que des mauvaises herbes dans un jardin et étouffer toutes les belles plantes délicates si on leur laisse le contrôle. Apprends à contrôler tes pensées afin qu'elles ne soient que des pensées de beauté, d'harmonie et d'amour. Une fois tes pensées positives bien établies, tu rechercheras automatiquement le meilleur dans chaque situation. Seulement alors, peux-tu te détendre, te laisser aller et entrer dans la joie et la liberté de l'Esprit !

Eileen Caddy

mercredi 11 août 2010

Ton Nom...

Lorsque mes forces m'abandonnent,
Je chante ton Nom,
Alors la vie inonde chacun de mes muscles.

Lorsque je tombe,
Je chante ton Nom,
Alors, Tu me relèves et me soutiens.

Lorsque ma volonté me quitte,
Je chante ton Nom,
Alors, Tu m'encourages

Lorsque la peur m'envahit,
Je chante ton Nom,
Alors, je deviens un guerrier de la lumière et défie la vie.

Lorsque mon chemin se perd en tourments,
Je chante ton Nom,
Alors, le soleil éclaire mes pas et me guide vers un jour nouveau.

Lorsque mon cœur pleure,
Je chante ton Nom,
Alors, Tu adoucis ma peine et rayonnes en moi.

Lorsque les doutes m'assaillent,
Je chante ton Nom,
Alors je T'entends murmurer à mon oreille : "T'es capable" et tel un phénix, je renais.

Lorsque je chante Ton nom,
Mon âme vibre à l'unisson.
Lorsque je chante Ton nom,
Je suis Amour.

A Nabil, Adil et sa charmante femme.

samedi 7 août 2010

O rage, O merveille

Je dédie ces nuages à tous les amoureux de nature et d'espace infini,
Aux êtres et âmes sensibles et belles...

Partage amoureux

Un seul guide

"J'hésite à suivre les autres de peur de te manquer, là où tu m'attends pour être mon guide, à quelque tournant de route.
Je marcherai obstinément dans mon propre chemin, jusqu'à ce que ma folie même te pousse à ma porte.
Car j'ai ta promesse, que ma part de biens dans ce monde me doit venir de tes mains."

[ Rabindranath TAGORE ]
"La corbeille de fruits"


J'ai cueilli ce texte dans le jardin du petit oiseau de paradis, parce que ses graines sont amour et que leurs fruits sont à partager avec douceur.
Je l'ai cueilli parce qu'il était beau, parce qu'il m'a ému.

Je ne connais pas l'amour humain car l'amour des anges est d'une autre nature. Mais si je devais faire une déclaration d'Amour à l'Être qui fait battre mon cœur d'humaine façon, elle ressemblerait à celle-ci.
Je partage ce texte avec vous, afin de vous envoyer de l'amour, sentiment si peu avoué et pourtant tant apprécié de tous.
Je vous souhaite une belle journée d'amour... et n'oubliez pas ! Semez-le...

Cliquez sur le cœur de la rose, et découvrez son jardin d'Émerveilles...
Bonne promenade...

mardi 3 août 2010

Une fois n'est pas coutume...

"Quelqu'un a créé la forêt pour que les enfants s'y perdent
Appelons-le Dieu. Appelons-le Grimm le bicéphale.
Il l'a semée d'arbres noueux, irriguée de rivières dont les eaux donnent la vie et la mort, et enveloppée d'un voile de brouillard. Ensuite, il a suspendu au-dessus des arbres, la lune et l'étoile Polaire, car il fallait que les enfants se perdent, mais pas complétement.
Puis il a a lâché les loups.
Leur mission était simple : ils devaient rendre un culte à la lune et lui jouer de la musique comme il convient aux fils de la nuit. Ah ! Et ils devaient aussi manger les enfants.
Sans se presser. Rien n'empêchait qu'ils les dévorent au croisement des chemins, les enfants d'abord, puis le petit panier, mais non sans les avoir auparavant dûment embobinés.
Là où les diables font le trafic des âmes, les loups (et parfois aussi les coyotes) s'amusent à changer la direction des pancartes. Ensuite, ils traversent la forêt, se déguisent et attendent, car c'est plus drôle ainsi. Et aussi parce que leur contrat exige qu'ils laissent le temps au chasseur d'arriver ; le chasseur, cet habile chirurgien capable d'ouvrir des ventres, d'en extirper des grands-mères et de recoudre les loups plein de pierres sans que le patient en ressente la moindre gêne.
C'est ce que Dieu ou Grimm le bicéphale, sans parler d'Andersen, ne voulaient pas malgré tout que les enfants se perdent trop. N'ont-ils pas laissé la lune et l'étoile Polaire allumées ? N'ont-ils pas laissé la porte de l'armoire fermée ?
Ce qu'il cherchaient en réalité, aussi triste que cela paraisse, c'était de les aider à grandir.
Si vous n'êtes pas convaincu, allez donc demander à Bettelheim. Mais vous pouvez vous épargner le voyage : il vous dira que oui. Il vous rappellera que lorsque vous êtes sorti de la forêt de mots que votre père ou votre mère avait dressée autour de vous, juste avant de sombrer dans le sommeil, vous avez pensé : "Moi aussi je peux m'en sortir face au loup. Mon ours en peluche et moi, nous lui donnerons une bonne leçon." C'était leur intention, et en général cela a bien fonctionné depuis que la forêt est forêt et que les enfants sont enfants.Cependant, il arrive que ce soit le loup qui se perde.
Lui qui connaît si bien les raccourcis. Lui qui rend un culte à la lune.
Il arrive aussi parfois que la lune joue à se cacher au plus profond des puis pour égarer ceux qui la suivent. Et puis, dans certains cas, il arrive que les enfants croient être sortis de la forêt, grandissent comme prévu, mais qu'en réalité ils se trompent car ils sont toujours perdus dans la brume. Quand tout cela arrive, mieux vaut se préparer pour le voyage de sa vie."
Àlex Romero
Sociologue et expert en Culture Populaire

Voilà la préface d'une bande dessinée "Le signe de la Lune", sélection officielle Angoulême 2010

Aldea est une région isolée et perdue, ses habitants sont ancrés dans les peurs et les croyances d'un monde ancestral. Dans le décor d'une immense forêt, Artémis, accompagnée de son petit frère, sera au cœur d'un drame qui changera son existence et la confrontera à ses deux plus grandes obsessions : la lune et sa beauté hypnotique, et l'enfant qu'elle voit chaque nuit dans ses cauchemars...
Le signe de la lune est un conte fantastique, noir et fascinant, une œuvre tendre et crépusculaire par Jose Luis Munuera et Enrique Bonet.

J'ai adoré cette BD... je vous invite à la lire si vous la trouvez, c'est magique !

jeudi 29 juillet 2010

A toujours vouloir voler trop haut...

On s'abime les ailes, souvenez-vous de ce pauvre Icare !

J'ai voulu voler trop haut, à contre courant, défiant les vents de l'été, défiant les nuages les plus dangereux pour le simple plaisir de voler et de défier...

Mais ce midi... il n'est pour moi que six heures du matin !...
Mes plumes et moi-même sommes en réfection... en réflexion...
Coincé entre deux couches de plumes de substitution,
Je perds du temps toute notion !...

Mon petit corps ne me porte plus, les ailes sont devenues trop lourdes...
Suis obligé de resté allongé, quelle satanée journée !

J'entends dans mon coton, une petite voix qui me dit en retour d'Italie...
"Chi va piano, va sano ; chi va sano, va lontano..."
Rispondo :"Oggi sicuro... Certo !"

mardi 27 juillet 2010

La tatie la plus heureuse du monde...



Merci mes petits amours pour ces Instants magiques !

samedi 24 juillet 2010

et le messie passe....

"Afin de vivre libre et joyeux, tu dois sacrifier l'ennui.
Ce n'est pas toujours un sacrifice facile."

"Il ne t'es jamais donné un désir,
Sans que te soit donné le pouvoir de le rendre réalité.
Tu peux néanmoins être obligé de peiner pour cela."

[ Richard Bach, Illusions ]

mardi 20 juillet 2010

Où es-tu ?

Voilà des jours, des semaines que la vie, le temps nous ont séparés.
Les roses du jardin se sont fanées et avec elles, ton souvenir...
Je t'imagine sous d'autres cieux, beau comme un albatros, glissant sur les ailes du vent.
Ton envol nous éloigne chaque jour.
Le souvenir de ta tendresse caresse encore ma peau. La réminiscence de tes effleurements emplissent mes rêves d'un parfum suave et épicé.

Ce soir, dans la solitude de cette chambre vide, je pense à toi.
Ce soir, je te revois dans ce fauteuil, que tu avais délicatement installé auprès de mon lit pour veiller sur mes nuits d'enfer, posé là en chevalier, gardien de ma quiétude nocturne.
Ce soir, je t'imagine, assis là dans la pénombre, te racontant ma journée, mes craintes, mes joies.
Ce soir, je partage ton absence, confident invisible et silencieux.
Où es-tu gardien de ma paix, de mon sommeil.

Je me souviens de ton désir dissimulé, lorsque tu disais : "que veux-tu que je lise ?"
Tu faisais semblant d'hésiter entre le Petit Prince et le Messie récalcitrant, mais dans ton silence, nous savions tous les deux, que le Messie allait nous rendre visite, comme tous les soirs.
Alors, ses paroles emplissaient la nuit, comme pour me guider sur les pentes délicieuses de rêves les plus fous, avant de partir, je l'entendais dire : " Un nuage ne sait pas pourquoi il se déplace justement dans telle direction et à telle vitesse..., voilà ce que le manuel avait à dire... Il ressent une impulsion... C'est la place où il doit aller maintenant. Mais le ciel connait les raisons et les modèles derrière chaque nuage, et les connais aussi lorsque tu t'élèves assez haut pour voir au-delà des horizons..."
Alors je m'envolais transportée par ta voix...

Ta voix... Celle qui me berçait, celle qui me caressait, celle qui apaisait mon coeur de toutes agitations. Celle que j'aimais entendre empreinte de soleil, douce comme une guimauve gout violette.
Ta voix, qui à l'aube d'un jour nouveau, me chuchotait tendrement : "C'est l'heure !", enveloppée d'effluves caféinées.
L'heure d'ouvrir les yeux sur ton sourire, sur ton regard troublant, sur ton corps patient, veilleur de mes nuits infernales.
Où es-tu ?

lundi 19 juillet 2010

Ce n'est pas la connaissance qui fait l'expérience,
Mais l'expérience qui fait la connaissance.

samedi 17 juillet 2010

Vu de mes ailes...

Mes yeux t'offrent ce que tu ne vois pas ou plus...

dimanche 11 juillet 2010

Ma quotidienne

Un échec c'est seulement une chance inouïe de recommencer intelligemment.

[ H. Ford ]

vendredi 9 juillet 2010

Une douche à l'ancienne

En ces temps modernes, il nous suffit simplement d'ouvrir le robinet pour avoir de l'eau chaude, je me retrouvais dans l'inconfort, suite à un incident domestique...
Je vous avoue qu'en ces temps de canicule, une douche froide serait de bonne augure, mais je ne suis pas une adepte de la pratique !

Alors, s'offrait à moi tout le privilège de l'ingéniosité de mon imagination, avoir de l'eau chaude pour une bonne douche !
Prenez une cuvette, chauffez de l'eau (à la bouilloire), portez-la à ébullition et ajoutez autant d'eau froide pour que cela soit agréable, munissez-vous d'une petite casserole (c'est plus commode) et versez !
Que du bonheur !

Je remercie les aléas de la vie pour ces instants.
Pouvoir se réapproprier les gestes du passé est un luxe pour moi !

L'art de la contemplation

A toi que j'aime et qui voudrais changer les autres,
Je te dis :"peine perdue..."
A toi que j'aime, je te souhaite de voir ce que je vois.

La contemplation, celle qui amène la paix, lorsque le chaos intérieur submerge ton cœur.

Ce matin fut tous les matins du monde !
Douceur matinale...
Le soleil était masqué par un superbe nuage. Des creux laissaient s'étirer ses rayons mordorés, déchirant un ciel de plomb. Ces déchirures donnaient à ce nuage des allures de phénix, à la poursuite d'un arc-en-ciel.
Les ocres des graines de colza, enfin mûrs, inondés d'or solaire, accentuaient encore ce contraste.
Tout de la nature m'était offerte.
Le ciel, la terre, comme un seul élément à mon émerveillement.

J'aimerais que tu t'arrêtes un instant, ces jours où tous les matins du monde s'offrent à toi.
J'aimerais que tu ressentes toute la force, la puissance des éléments, ceux qui nous font et qui nous apaisent.
J'aimerais que tu trouves la paix dans cette contemplation.

mercredi 7 juillet 2010

Espérance, mère de toute vie

Lorsque la vie, dans sa grande mansuétude, m'accordera la grâce de mon vœux...
Je veux voler à tes côtés en toute liberté,
Je veux suivre ton enseignement,
Je veux m'enrichir de ton savoir,
Je veux que toi et moi, soyons heureux,
Glissant sur les ailes du vents, loin de tout, loin de ce monde de fous...


jeudi 1 juillet 2010

La peur du vide

Chers Instantiens...,une insomnie caractérisée me ramène aux portes de mes Instants pour un moment égarés, pour un moment désertés et que j'ai plaisir à rouvrir.

Je réfléchissais à ce temps qui nous échappe, qui nous file entre les doigts, à ce temps qui nous manque et derrière lequel nous courrons tous !

Et si cette fuite du temps n'était simplement pas la peur du vide ?!

Et si nous ne "sur-bookions" pas de manière intensive, voire excessives nos journées, pour ne pas nous retrouver seuls avec nous-même, avec ce nous-même qui ne se reconnait plus dans une société individualiste.
La peur du vide parce que nous ne ressemblons pas à la société que "l'on nous crée, nous impose". Le vide ou la société de consommation !

Ce nous-même se débattant aux prises avec le temps pour moins de douleur, pour ne pas constater le vide sociétal, où consommation rime avec aliénation.
Le plaisir immédiat et superficiel des masses.
Et si notre nous-même ne s'enfermait pas dans cette course après les grains de sable, que les vents de la vie éparpille aux quatre coins de nos vies, juste pour se dire qu'il est vivant !

Et si ce nous-même prenait le TEMPS de s'arrêter et de regarder autour de lui, de voir les douceurs que la nature lui offre ; de voir que le vide n'existe pas pour qui sait reconnaître la vie, les autres et la nature altruiste en chacun des être conscients. Pis, tant pis si une de ces mauvaises petites réflexions vient traverser notre esprit, ce n'est qu'une pensée chagrin qui ne vivra pas jusqu'à demain, parce qu'en route vous aurez rencontré quelqu'un de merveilleux qui aura su vous émouvoir par sa sincérité et sa profondeur.


Maras de bois, framboises rouges et jaune,
cerises, feuille de chêne,
glanées avec joie sous un soleil brûlant,
en compagnie de la meilleure amie.
..

C'est ça prendre son temps !
Alors qu'il y a le déménagent qui attend !

Merci Mimi !

Bienvenue chez vous !

mardi 8 juin 2010

Le temps ne passe plus..., il court !

Vous aurez sans aucun doute remarqué que je brille par une grande absence, ici et là et je m'en excuse !
Mais j'ai constaté, ces derniers temps, dans mes trop rares balades blogiennes, que d'autres que moi, ont été avalé par la clepsydre infernale de notre nouvelle ère...
De-ci, de-là, je lis les excuses pour les absences à venir, pour les suspensions d'expressions bloguesques !
Même mon père (humain), ce non-philosophe, cherche les explications de cette fuite temporelle !
Que se passe-t-il ?

Pour ma part, un bout d'explication !
Je change de paradis !!!!
Lorsque on est ange au paradis, il n'y a pas de formalité administratives et autres. Mais lorsque l'on est ange sur terre, on ne peut échapper aux règles terriennes, aux règles humaines et à cette multitude de formalités...
Et puis la vie d'ange parmi les humains oblige à avoir la même vie !
Donc à faire des cartons !!!!
Puis, la vie d'ange sur terre implique de ressentir les douleurs des hommes....
Alors le tout en un... ne me laisse que peu de temps !
J'espère pouvoir remettre un peu d'ordre et de frein dans cette vie infernale et fuyante...
A très vite !
Merci pour vos visites.

Je vous embrasse chers Instantiens.

mercredi 2 juin 2010

Egarement angélique

mardi 1 juin 2010

Hommage...


Mon cœur pleure,
Ma "Grande Famille" souffre.

On ne vous oubliera jamais.
à mes collègues et leurs proches

dimanche 23 mai 2010

Entre nos désirs de vie et sa réalité,
Il y a un désert, un univers...

[ moi-même ]

mardi 18 mai 2010

ma quotidienne : Pure potentialité


Le sage védique dit :
« Je suis le potentiel incommensurable de tout ce qui a été, est et sera.
Mes désirs sont telles des graines laissées dans le sol : elles attendent la bonne saison et se métamorphosent alors d'elles-mêmes en fleurs ravissantes, en arbres majestueux, en jardins enchantés et en forêts merveilleuses. »

[ D. Chopra ]

samedi 8 mai 2010

lundi 26 avril 2010

Tableau d'honneur - bis...

Il y a quelque temps de cela, je vous faisais part d'une belle action menée par mon amie Françoise (québécoise de son état ;-) ) et à l'origine du "Club Bio" (voir article)

http://angelsjazz.blogspot.com/2009/12/tableau-dhonneur.html


Le temps a passé, et le succès va grandissant.
Aujourd'hui, elle, ils ont leur blog...
Je vous invite à le visiter, à vous y inscrire si le cœur vous en dit, afin recevoir de bons conseils, de bonnes recettes...
Gourmands, à vos claviers ;-)

http://clubbio.blogspot.com/


Merci pour eux !
Longue vie au club et vive ma Françoise !!!!!

Lilac wine

Découvrez la playlist jeff buckley avec Jeff Buckley


I lost myself on a cool damp night
Gave myself in that misty light
Was hypnotized by a strange delight
Under a lilac tree
I made wine from the lilac tree
Put my heart in its recipe
It makes me see what I want to see...
And be what I want to be
When I think more than I want to think
Do things I never should do
I drink much more that I ought to drink
Because I brings me back you...

Lilac wine is sweet and heady, like my love
Lilac wine, I feel unsteady, like my love
Listen to me... I cannot see clearly
Isn't that she coming to me nearly here?

Lilac wine is sweet and heady where's my love?
Lilac wine, I feel unsteady, where's my love?

Listen to me, why is everything so hazy?
Isn't that she, or am I just going crazy, dear?

Lilac Wine, I feel unready for my love...
I feel unready for my love...

samedi 24 avril 2010

Ma quotidienne

Prévoir, c'est être maître du jour.

[ Goethe ]

mercredi 14 avril 2010

un mercredi soir sur terre...


Ivre...
De peine aussi...

Explosent ma poitrine, mon corps, mon âme...
J'écoute, en silence, mon cœur se fendre et éclater en mille morceaux...
Morceaux éparses se répandant dans l'espace d'une infinie tristesse ,
L'univers, à côté, n'est qu'un mouchoir de poche...

Mon cœur foudroyé en plein vol, en plein bonheur,
Sa magique légèreté broyée par un ouragan d'incompréhension !

J'entends Sa voix muette murmurée ma défaite,
Maudite vie à deux temps !
Ma moitié se meurt, se détache, m'abandonne...
J'ai perdu mon âme sœur
Mon équilibre s'envole...

samedi 10 avril 2010

dans la soute à bagages...

le temps d'une courte escapade,

j'ai rapporté Berlin dans mes poches...

Neue Wache Memorial


pour moi le plus émouvant !
Nul besoin de temples, nul besoin de philosophies compliquées.
Notre cerveau et notre cœur sont nos temples.

[ Le Dalaï-Lama ]

jeudi 8 avril 2010

Fantaisie aquatique

En attendant la fin du conte....