mardi 2 juin 2009

447

Les puissantes ailes d'un bel oiseau de fer se sont brisées...
Une nuée d'anges s'est tout d'un coup élevée haut dans le ciel.

Un trou béant s'est alors ouvert dans mon cœur.
Une infinie tristesse a accompagnée ma nuit,
Attirant mes pensées vers ce noir infini.

Je ne peux que prier pour les accompagner.
Que la violence soudaine se mue en douceur éternelle.


A mes collègues, leurs familles et tous ces inconnus.

2 commentaires:

Pop ! a dit…

Ils SONT dans la douceur éternelle... puissent ceux qui restent traverser la douleur pour les rejoindre dans cette paix.

Seb! a dit…

Mes prières s'en vont dans les cieux accompagnant les tiens et les milliers d'autres qui montent chaque jour pour eux...