Aux petites heures du matin
dans la pénombre de cette chambre qui n'est pas la tienne,
les volets ni clos,
je te regarde...
Mes yeux caressent ton corps alangui,
Les draps froissés épousent mal tes formes si délicieuses.
Debout, près de la porte, je me délecte de ce moment privilégié...
avant de m'envoler.
vendredi 3 octobre 2008
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1 commentaire:
Quelle douceur dans ces mots...
Quel érotisme dans ces pensées...
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